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Bonsaï

Mon Jardin Secret

 

Grenadier Punica Grenada :

 

Zone USDA 8 à 9. Le grenadier est un arbre de climat méditerranéen, à maintenir hors gel. Le démarrage de Printemps est assez tardif mais, même si le bois semble mort, patience ...

Exposition : Plein soleil

 

Arrosage : Arrosez régulièrement sans jamais laisser sécher le substrat. Arroser encore plus généreusement après la floraison pour aider au développement des fruits. Réduire l’arrosage en hiver sans permettre aux racines de sécher.

 

Rempotage : Tous les 2 à 3 ans au début du printemps jusqu’à l’age de 10 ans. Ensuite attendre que les racines remplissent le pot pour rempoter. Choisissez un pot assez profond pour permettre de conserver l’humidité indispensable à cette espèce. Le pot ne devra pas être trop grand non plus car les racines doivent être un peu à l’étroit pour bien fleurir.

 

Substrat : Rempoter dans un substrat classique légèrement sablonneux.

Il ne faut pas oublier non plus que le choix du substrat dépend aussi de l’étape de culture et de la région dans laquelle l’arbre est cultivé.

Pour les débutants, un substrat composé à 100 % d’akadama sera parfait, le temps d’en apprendre un peu plus.

 

Fertilisation : Chaque semaine en période de croissance en s’abstenant à partir du début de la floraison jusqu’au commencement du développement des fruits.

 

Taille : Taille de structure en fin d’hiver et taille en vert après la floraison.

Tailler les drageons et les nouveaux rameaux à 2 paires de feuilles après la croissance de la quatrième. Ne pas tailler les petits bourgeons ronds qui sont les bourgeons à fleurs.

 

Ligature : Début Mars avant l’apparition des bourgeons. Protéger la délicate écorce avec du raphia. Attention, les rameaux sont cassants. Privilégier la formation par la taille.

 

Phytosanitaire acariens, cochenilles.

 

Cotoneaster horizontalis :

 

Le feuillage est persistant, semi-caduque, voire caduque selon les espèces et les climats supportés. Les teintes sont souvent superbes à l’automne. Les espèces les plus intéressantes en bonsaï sont les formes prostrées ou de petite taille telles que C. dammeri C. horizontalis, ou C. microphyllus.  Les cotoneasters sont appréciés pour leurs petits fruits décoratifs et abondants ainsi que leur longue floraison rose ou blanche. Ils n’ont pas d’aiguilles ce qui est plutôt un avantage en bonsaï…

Exposition :
Extérieure. Préférer les emplacements ensoleillés tout en restant prudent en été, particulièrement lorsqu’il est cultivé dans un petit pot. Le cotoneaster n’aime ni l’excès ni le manque d’eau.

En hiver, si les températures descendent en dessous de -5°C durablement, il faut alors penser à le protéger du froid et c’est encore plus vrai s’il y a du vent car il est plus frileux en bonsaï qu’en pleine terre.

 

Fertilisation :
Fertiliser tous les mois à partir du printemps jusqu’à la fin de la période végétative. Le cotoneaster est une espèce assez frugale.

Taille et mise en forme :
Le genre produit de nombreux rejets de souche, il est donc important de supprimer ces rejets afin d’encourager la croissance du tronc. De même il est important d’opérer une sélection régulière des pousses à l’aisselle des branches qui ont vite tendance à se multiplier. Les nouvelles pousses doivent être taillées à une ou deux feuilles durant toute la saison de croissance.

Ligature :
Le cotoneaster répond bien à la ligature qui se pratique de préférence au printemps juste avant l’éclosion des bourgeons. Il est recommandé de protéger l’écorce.

Rempotage:

L’espèce est assez délicate et ne supporte pas une taille drastique des racines. Enlever au maximum un tiers des anciennes racines, mais c’est vraiment un maximum.

Mise en forme :
Les cotoneasters sont adaptés au bonsaï de petite taille, « mame » et « shohin »,  et sont assez difficiles à faire grossir.

 

Maladies et parasites :
Parfois sujet au feu bactérien pendant la période active de végétation. Seul un traitement cuprique préventif juste avant la floraison peut l’éviter. Il est aussi parfois (rarement) attaqué par les chenilles.

Peu sujet aux maladies. L’espèce est parfois attaquée par des pucerons lanigères ou cochenilles farineuses au revers des feuilles tendres, au printemps. Il est alors quasi impossible de s’en débarrasser et le meilleur moyen d’éviter qu’une telle attaque n’affaiblisse l’arbre est de garder préventivement un arbre sain et fertilisé.

Multiplication :
Le bouturage est possible en juin-juillet. Les nouvelles pousses racinent en environ 6 semaines.
La marcotte aérienne est possible au printemps. Il est enfin possible de récolter les graines qui peuvent être semées l’année suivante après stratification froide.

cotoneaster

Amélanchier à feuilles ovales - Amelanchier ovalis

 

On l’appelle aussi amélavier ou amélanquier. Son fruit, l’amelanco est comestible, il apparait durant l'été juste après une belle floraison blanche. Il peut vivre à plus de 2 000 m d'altitude. Ses petites feuilles produisent une couleur rouge feu en automne.

Type : Feuillu
Feuillage : Caduc
Emplacement : Extérieur

 

Période de taille : Après floraison sur jeunes sujets

Comment tailler :

Il faut empêcher un buissonnement trop dense car lorsque les tiges sont trop serrées, elles ont tendance à s’entrelacer.

Fréquence d'arrosage :

 

 

Comment arroser :

L'été, surtout en période de fortes chaleurs, il faudra veiller à maintenir une humidité ambiante permanente. De la paille ou des déchets de tonte en surface seront les bienvenues.

Fertilisation :

Engrais classique pour plantes à fleurs

Période de rempotage : En automne de préférence
Composition du substrat : Un sol acide est préférable surtout pour activer une croissance rapide, mais il supporte aussi le calcaire. Il faudra donc fournir un sol à base de tourbe mélangée à de l'akadama par exemple. On disposera une couche d'écorce de pin sur le dessus de la motte.

 

Maladies :

Attention à l'oïdium au printemps

 

Protection :

Il est capable de résister à des températures très basses, de l'ordre de -30°, attention, dans un pot il est préférable de luis éviter une telle exposition. L'été il faudra le protéger des fortes chaleurs. Une toile d'ombrage s'avère presque obligatoire.

 

Reproduction :

Semis dès la maturité des graines (stratification préférable au préalable), boutures herbacées en juin ou semi-ligneuses en août/septembre à l’étouffée, marcottage.

Amélanchier du Canada

(Amelanchier canadensis)

Les Amélanchiers du Canada, originaire d'Amérique du Nord appartiennent à la famille des Rosaceae, sous-famille des Maloideae.

Epargné par la plupart des parasites, ils résistent aux fortes gelées. 

Les amélanchiers, prospèrent principalement sur des sols acides.

L'arbre a besoin d'une terre riche, profonde, fraîche, consistante. Ses feuilles caduques, simples, vertes prennent de belles couleurs cuivre et pourpre en automne. L'amélanchier craint les étés trop secs et les vents desséchants. Il peut donc être nécessaire durant l'été de protéger le pied de l'arbre afin de lui conserver son humidité en empêchant l'évaporation du sol.

 

La floraison est brève et ne dépasse pas une dizaine de jours courant avril et exhale un parfum doux légèrement vanillé.

Amelanchier

Premna Japonica Mycrophylla

 

Origine tropicale, craint le froid et supporte mal le manque de luminosité. Il demande beaucoup de lumière, mais craint le soleil brûlant. Il a besoin de beaucoup d’eau. Ne jamais laisser le substrat s’assécher.

Les feuilles deviennent ternes lorsqu’il a soif, c’est une bonne indication. Ne pas attendre qu'elles se ternissent... sensible à la pourriture des racines, il a besoin d’un substrat très drainant.
Hivernage dans un endroit très lumineux et abrité. Lorsqu’on le rentre, lorsqu'il n'est pas encore acclimaté, il peut perdre tout ou partie de son feuillage au bout de quelques semaines, sans que cela soit inquiétant. Il peut en perdre régulièrement tout l’hiver s’il manque de lumière. En hiver, le mettre devant une fenêtre orientée plein sud et sous lampe horticole est un minimum pendant la période d’acclimatation.
Lorsqu’on le sort au printemps, toujours pendant la période d'acclimatation, il peut perdre également une partie de son feuillage, qu’il renouvellera cependant très rapidement en bourgeonnant en arrière.

TAILLE ET MISE EN FORME
Le Premna réagit extrêmement vite à la taille ; les feuilles se nanifient très rapidement lorsque la luminosité est bonne, et la densification est rapide dans la mesure où le Premna bourgeonne très bien en arrière sur le vieux bois. Il a cependant une forte tendance à perdre ses branches si taillé, en ne laissant pas suffisamment de tire sève. La taille d’une branche très forte permet instantanément d’équilibrer la force des rameaux les plus faibles. L’énergie est directement répartie vers les branches avoisinantes. La dominance des bouts de branches étant naturellement extrêmement forte, le pinçage régulier est efficace et il permet une densification très rapide de la ramure. Il est même recommandé car il supporte bien le pinçage répété, mais laisser pousser et tailler après lignification a tendance a dégarnir les rameaux en leur centre.
- Vieux bois très cassant
- tendance acrotonique (dominance apicale)
- Période de croissance : il pousse toute l’année, mais la pousse est extrêmement rapide dès qu’on le place à l’extérieur, dès les premiers jours.
- Durée de vie des yeux : longue
- Taille de structure de préférence au printemps en même temps que le rempotage.
- Pincer les jeunes pousses tout au long de la période de croissance, en laissant les deux premières feuilles pour densification
- Mastiquer impérativement, car retrait de sève.
- Le bois est dur et le travail de bois mort peut être effectué sur cette essence, le bois étant joliment veiné.
Ligature :
- Du printemps à l’automne, en protégeant l’écorce et sans trop serrer
- Attention, les branches de 2 ans sont très cassantes.

REMPOTAGE
Rempotage au printemps.
L’akadama pur lui convient parfaitement. Dans la mesure où il boit énormément, utiliser de l'akadama fine qui permet d’éviter la pourriture des racines à laquelle il est sensible. Éviter des pots trop gros qui rendent difficile l’arrosage.

ENGRAIS
- Tous les mois, du printemps à l'automne, engrais équilibré.
- Renforcer les apports en K et Mg dès la fin de l’été pour permettre une floraison abondante.
Pincer systématiquement sinon il va s'allonger, faire de grands entre nœuds, grosses feuilles et tout... la force va aller en bout de branches, et vous verrez que toutes les anciennes jauniront et tomberont (trop faibles par rapport au bout de branches)... au début, vous aurez peur de l'épuiser en pinçant, mais d’inquiétude, il faut rabattre, vous verrez qu’il ne perdra plus de feuilles depuis que vous le pincerez... et pincez tout le temps....

Premna
Aubépine

Aubépine

 

Les plus communes sont :
-Crataegus monogyna fleurs blanches ou roses.
-Crataegus laevigata Alba Plena’ aux fleurs doubles blanches.

-Crataegus laevigata ‘Paul’s Scarlet’ aux fleurs doubles rouges.
-Crataegus azarolus (Bassin méditerranéen)

Appelée aussi Noble Epine Cennelier ou Epine de Mai

 

Protection

L'aubépine est très résistante. Exposition : Plein soleil ou mi- ombre mais elle apprécie le plein soleil mais Eviter le soleil brûlant du plein été. Le vent ne la contrarie pas. Très rustique. Jusqu’à -15°C et plus

Fertilisation :

Donnez de l'engrais régulièrement entre le printemps et l'automne. Privilégiez un engrais faiblement azoté pour encourager la formation de fleurs et de fruits.

 

Rempotage : Le développement racinaire est important. Rempoter tous les deux ans afin de construire le nébari.

Prévoir un pot vaste et profond.

 

Substrat : 60% pouzzolane le reste d’akadama. Quand l’arbre est suffisamment installé et ramifié, augmenter la quantité d’akadama et choisir une granulométrie plus fine.

Substrat drainant et qui reste frais afin de favoriser une bonne croissance.

 

Taille : L’aubépine est très capricieuse. L’aubépine supporte les tailles sévères et redémarre sur le vieux bois.

Si l’arbre est jeune ou a subi une taille sévère, les pousses seront vigoureuses. Vous pouvez tailler ces jeunes rameaux dès l’apparition de la 5eme feuille en n’en laissant que deux. Répéter l’opération si la croissance est rapide. Ne laisser que deux départs de branche. Tailler davantage la cime.

En septembre raccourcir les rameaux les plus longs.

En hiver, pour les arbres jeunes, taille de structure.

 

Ligature : De préférence au printemps. Les anciennes branches s’épaississent très lentement ainsi la ligature peut être laissée en place pendant de  très longues périodes.

La ligature des branches de plus de 1 cm est très difficile, le bois est rigide et reprend facilement sa position au dé-ligaturage (une banche de 1 cm haubanée pendant 10 ans reprenait sa place avec peut-être une légère courbure).

Préférez une taille draconienne de la grosse branche en espérant qu’une pousse vigoureuse voudra bien sortir, que vous ligaturerez dès qu’elle commencera à se lignifier.

Idem pour toutes les pousses de l’année. Déligaturer en été (vu le peu de temps d’utilisation de la ligature opter plutôt pour les haubans).

Les branches déjà lignifiées ne garderont la position que si la pousse est vigoureuse sur cette branche. Attention au marquage de l’écorce. Si la branche ne pousse pas vous pouvez laisser la ligature plusieurs années avant qu’elle ne prenne la position désirée.

 

Reproduction :

Elle se multiplie facilement par bouturage, le marcottage reste difficile.

Malpighia

 

Malpighia est un magnifique arbre tropical. L’arbuste donne des fleurs roses. La température en dessous de 2°degrés peut endommager les feuilles et le gel tuera le bonsaï.

 

Il peut être mis en extérieur l’été.

L’arbre affectionne les emplacements ensoleillés.


Température :
L’arbuste peut être mis à l’intérieur l’hiver ou mieux dans une serre dès que la température descend en dessous de 14 degrés.

La plante meurt à partir de -2.0 °C.

 

Arrosage : Un sol riche et neutre ; il faut éviter un terrain inondé car ceci lui est préjudiciable.

Soigner le drainage du sol afin d’éviter l’eau stagnante.
À propos de l'arrosage, être certain que le Malpighia reçoit assez d'eau, ne laissez pas l’Akadama sécher. Aussi l'arbre doit se tenir dans un endroit lumineux. Cependant, trop d’arrosage provoque les feuilles jaunes

L'eau sur Les fleurs ruine celles-ci.

Il apprécie d'être installé en été en extérieur.

Le plein soleil est la meilleure solution pour avoir des petites feuilles, des fleurs et les fruits.

La floraison apparaît plusieurs fois dans l'année (entre trois et sept environ) et est plus abondante en cas d'alternance de période de sécheresse et de pluie.

TAILLE ... le Malpighia tolérera la taille des racines avec modération et une forte taille supérieure pour les branches. Toujours laisser quelques feuilles sur chaque branche.


Engrais : Fertiliser une fois par mois au cours du printemps et de l'été. Alternez entre une alimentation équilibrée et un super-phosphate pour plus de fleurs.

Il n'aime pas l'eau calcaire et est avide de nourriture,

.
Ligaturage : Difficile à assurer, bois cassant donc prudence.

Pincement régulier sera nécessaire.


Multiplication: bouturage, marcottage.


Rempotage : le malpighia préfère un substrat un peu acide, riche, humide mais poreux.
Un sol bien drainé.

 

Ravageurs et maladies : Surveillez les pucerons et les acariens.

Malpighia coccigera est originaire des Antilles.

Malpighia glabra , ou cerise des Barbades il a feuilles qui sont de forme ovale avec des extrémités pointues, ni brillant ni coriace ,vert très foncé et de petite taille . Les branches sont flexibles, la fleur est
rose- rose et le fruit est comestible, une riche source de vitamine C. Barbade cerise est généralement préférable dans un style droit informel.
Malpighia pendiculata ou malpighia pleureur. Sa forme naturelle est d'un petit arbuste, pendantes, les brindilles et les branches en pleurs. Les fleurs sont roses - rose, souvent plusieurs ensembles dans une cime.

 

Mapighia

 

***Initialement travaillé par Momiji.

Désormais il est sous ma responsabilité.

Un grand merci pour cette confiance !

J'espère être à la hauteur...

J'aime trop cet arbre.***

 

 

 

Portulacaria

Portulacaria

 

Le portulacaria, appelé également l'arbre de Jade (portulacaria afra) , est un sujet tropical cultivée comme un bonsaï d'intérieur ou sous serre ou soleil chaleureux.

Le portulacaria doit pas être exposé à des températures inférieures à 5°C. Le gel le tue.

Cette espèce passionnante pardonne beaucoup au débutant et peut vivre bien plus de 50 ans..

 

Exposition :
Plein soleil, ou l’endroit le plus lumineux de la maison. La plante étant héliotrope il est indispensable de la tourner souvent afin d’exposer régulièrement toutes ses faces à la clarté. Le portulacaria prospérera d’être placé en extérieur l’été. Le manque de lumière provoque un faible développement et l’agrandissement des feuilles. Ses besoins en lumière sont importants. Il faut parfois prévoir un éclairage horticole.
Plage de températures : +5°C - +40°C.

 

Arrosage : Vaporisez le portulacaria de temps en temps et arrosez qu’avec parcimonie, même pendant la saison chaude.

 

Fertilisation :
C’est la forte luminosité qui encourage la croissance.

Fertiliser une fois par mois du printemps à l’automne.

 

Période de rempotage : Tous les 2 ans fin avril

Le pot doit être profond mais pas trop grand car l'arbre de jade aime être à l'étroit.
Composition du substrat : 75% d'akadama et 25% sera idéal.

 

Taille :
Elle peut se faire toute l’année mais de préférence au printemps ou en été, car l’activité de la plante est à son apogée et elle émettra rapidement de nouvelles pousses. Durant cette période vous pourrez pincer en permanence les nouvelles pousses afin d’encourager la ramification et la réduction des feuilles. L’espèce re-bourgeonne très rapidement sur les blessures et l’on peut même supprimer une feuille là où l’on veut voir apparaitre une branche. Ne jamais mastiquer les plaies car cela peut provoquer un pourrissement, en capturant l’humidité. Il vaut mieux laisser sécher naturellement. Les arbres de jade répondent très bien au forçage et un arbre trop haut peut être sévèrement rabattu. Une nouvelle frondaison devrait apparaitre sous 2 à 3 semaines. Les rejets situés à la base du tronc sont fréquents et doivent être supprimés sauf si l’on souhaite le conduire en multi-troncs.

 

Ligature : Les ligatures sont possibles, MAIS il vaudra mieux recourir à la taille pour sculpter le portulacaria..

Sabine

                                     Sabine Genévrier Juniperus

                                                                                                 Les genévriers vivent en plein soleil.

L'hiver il sera necessaire de les protéger du froid au-dessous de -8° C.

Le genévrier vit uniquement à l'extérieur. La faible humidité, le manque de lumière feront dépérir à coup sûr votre genévrier.

Cependant il est à noter que le vent sera très bien supporté. Il appréciera aussi les étés chauds et secs.

 

Température : Selon origines : Globalement : -8°C à +30°C. Mais certains Juniperus importés de Taïwan sont gélifs.

 

Arrosage : Arrosage modéré car les racines du genévrier sont sensibles au pourrissement. Le feuillage devra être vaporiser pour nettoyer les stomates de la poussière leur permettre de respirer.

 

Rempotage : Tous les 2 ans en fin

d’automne avant tout risque de gelée.

 

Substrat : Utiliser un mélange drainant bien propre car le genévrier déteste les les dépôts alcalins. Le choix du substrat dépend aussi de l’étape de culture et de la région dans laquelle l’arbre est cultivé.

Pour les débutants, un substrat composé à 100 % d’akadama sera parfait, le temps d’en apprendre un peu plus.

 

Fertilisation : 2 fois par mois ! Azote du début de la croissance au printemps jusqu’au milieu de l’été. Rien en période très chaude. Engrais plus faible en azote en automne. Apports de fer une fois par trimestre.

 

Taille : Pincer ponctuellement pour maintenir leur forme compacte tout au long de la saison de croissance. N’utilisez pas les ciseaux, car ceci entrainera un brunissement des extrémités. Comme avec tous les conifères, les branches devront toujours être laissées avec assez de feuillage pour les soutenir ou elles mourront. Essayez de ne pas débuter le pincement en arrière avant un mois après que les premiers indices de croissance apparaissent (donc vers la fin du printemps).

 

Ligature : Peut être effectué à tous moments.

 

 

              Genévrier Sabine déniché par Momiji pour moi et que j'ai  travaillé avec Sandro lors d'un premier atelier en avril 2015.

Le travail s'effectuera sur plusieurs années, suppression de branches, changement de direction pour d'autres et mise en place de ligature.

Il est évident que pour le bien-être de l'arbre, ces activités s'étaleront dans le temps.

Déjà vous pouvez voir l'avancement. Actuellement ma Sabine se repose depuis avril 2015 et le travail reprendra probablement en octobre ou plutôt en avril 2017. Nous verrons comment elle aura récupéré.

Sabine6
Sabine5
Sabine4
Sabine3
Sabine2
Sabine1

 Pin Zuisho - Pinus Parviflora Zuisho - Syn : Pin Pentaphylla

Acquisition en mars 2014

 

C'est une variété en bonsaï très populaire au Japon. Il développe des petites aiguilles par 5. Sa pousse est lente.

 

Exposition :

Ce pin pourra être placé de plein soleil à mi-ombre.

 

Ventilation : Eviter les vents glacés et les écarts importants de températures.
 

Arrosage :

vérifier chaque jour. Si le mélange est sec : arrosez, dans le cas contraire cela n'est pas nécessaire. Il craint les excès d’eau qui le feront jaunir et les situations trop ombragées. Arrosages légers et réguliers à l’eau non calcaire. Pas de pulvérisation.

Supporte le gel s’il n’est pas détrempé et les températures élevées l’Eté s’il reçoit la quantité d’eau nécessaire.

 

Hygrométrie :

Nécessite une hygrométrie correcte autour de la partie aérienne mais sans excès d’eau au sol.

 

Rempotage :

Rempoter délicatement en Mars, tous les 3 ou 4 ans sans dégager complètement la motte pour conserver une partie des mycorhizes qui participent à l'oxygénation des racines.

 

Substrat :

Mélange bien drainant sans excès de calcaire.

Le choix du substrat dépend de l’étape de culture et de la région dans laquelle l’arbre est cultivé.

Pour les débutants, un substrat composé à 100 % d’akadama sera parfait, le temps d’en apprendre un peu plus.

 

Taille :

En Mars ou Avril selon les régions, pincement des chandelles lorsqu’elles s’allongent et sont encore herbacées (aiguilles non formées) : enlever 1/3 à ½ selon vigueur et espaces à garnir.

Fin Août : sélection des bourgeons qui peuvent être en surnombre aux extrêmités de branches.

Novembre : taille si nécessaire d’une partie des aiguilles anciennes aux ciseaux fins pour aérer la silhouette de l’arbre et favoriser l’apparition de nouveaux bourgeons au Printemps. Taille de formation - la taille des extrêmités favorise l’émission ultérieure de bourgeons en amont.La taille du Pinus parviflora est un peu plus technique.

 

Fertilisation :

Engrais organique sur la saison de végétation, une fois par mois, sans excès.

 

Ligature : 

Indispensable, entre fin d’hiver et fin d’Eté. Veiller à ce qu’elles ne marquent pas le bois en saison de végétation.

Pin Zuisho

Victime en août d’une mini tornade appelée dans ma région vulgairement « mini tornade » il s’agit d’un tourbillon de vents extrêmement violent qui a arraché mon pin de son support pour le projeter avec violence sur le sol. Résultat 3 branches atteintes. 1 ne sera pas récupérable malgré mes soins intensifs. 2 autres branches s’en remettront à force soins.

A cause de cet incident, que je considèrerais grave, il m’a été impossible de le présenter à l’expo de Maulévrier 2015.

Beaucoup de tristesse pour mon arbre, mais priorité à sa remise en forme, sa convalescence. Là, au bout de presque 1 an, il est devenu à nouveau vigoureux et mes yeux brillent d’envie de le travailler. Mais la sagesse me dit de ne pas me précipiter et j’attendrais 2017…. Donc patientez pour voir son futur.

Abricotier

                                                    Abricotier Japonnais :

 

                                         Exposition : adore le soleil mais craint un peu le froid.

                                         Peut supporter jusqu’à -8°C toutefois attention aux gelées

                                         trop fortes comme -10 appliquer un voile si doute.

                                         N’oubliez pas que votre arbre est dans un pot donc + fragile.

                                         Supporte le vent mais vigilance s’il est en fleurs.

 

Rempotage : tous les 2/3 ans au printemps après la floraison. Bien nettoyer les racines.

Poteries : Pour une croissance correcte des racines il faudra éviter les pots trop plats.

Substrat : drainant comme 100% d’akadama sera parfait !

il sera aussi acceptable un substrat composé comme  =

1/3 terre, 1/3 de terreau et 1/3 de gravier de rivière.

 

Engrais : nécessaire pendant toute sa période de croissance du printemps à l'automne, avec une diminution en  juillet et août.

Engrais davantage azoté immédiatement après la floraison. Veillez à un bon apport de phosphore (P) et de potassium (K) de début septembre jusqu’à la chute des feuilles.

 

Défoliation : On pourra faire une défoliation vers le milieu du printemps.

 

Arrosage : L'abricotier réclame un arrosage régulier, toujours arroser sur un substrat sec. Arrosez un peu plus en période chaude (juillet et août).

Eviter de mouiller les fleurs.

 

Ligatures : au printemps à condition de protéger avec du raphia les branches.

 

Taille: après floraison printanière : taille de nettoyage puis en vert jusqu’à mi-Juillet. Raccourcissement des branches à l'automne après la perte de ses feuilles avec taille de structure en ayant soin de mettre un mastic cicatrisant.

si on veut restructurer complètement un arbre, il sera possible de le faire en Novembre ou fin Février, mais vous n’aurez pas la floraison cette année-là.

Aussi c’est un des seuls arbres caduques supportant les shari.

 

Hygrométrie : Eviter les expositions desséchantes.

 

L'abricotier à rarement des maladies, mais il peut subir des agressions :

de chenilles, d’acariens et éventuellement (en pot) la gommose générée par des plaies

sur l'arbre, il est sera donc indispensable d'utiliser un mastic cicatrisant pour les tailles

de structure. Egalement il pourra subir des agressions d'un champignon le coryneum

ou maladie criblée : les feuilles sont criblées de petits trous, le traitement avec l’huile

de neem, c’est simple à traiter.

Une précaution faire en hivers deux pulvérisations de ce traitement à un mois

d'intervalle, et une au printemps dès l'apparition des bourgeons.

 

 

 

Acer Arakawa "Erable à écorce de liège"

Le premier signe de rugosité de l’écorce apparait vers sa cinquième année.

 

Exposition :
• Soleil au printemps.
• Mi ombre, ombre en été

 

Temperature :
• -10°c à +30°c.

 

Arrosage :
• Laisser sécher en surface pour arroser mais affectionne un sol frais et humide.

 

Rempotage :
• Tous les deux ans au printemps.


Substrat :
• Drainant type akadama, zéolithe, pumice (pierre ponce).

 

 

 

Acer Arakawa

Taille :
• La taille de structure se fera après la chute des feuilles ou à la fin de l’hiver avant le

débourrement, en période hors gel. Mastiquer les coupes, ne pas couper à raz, laisser un moignon

pour éviter le retrait de sève.

Eviter cette taille au printemps car il y a un danger de retrait de sève.
• En période de végétation, laisser pousser de 3 à 4 paires de feuilles et tailler à une ou deux paires.
• Effeuillage partiel pour faire entrer la lumière et bourgeonner en arrière.
• La défoliation est possible début juin, permet de créer un deuxième printemps et un bourgeonnement en arrière qui provoquera la réduction des nouvelles feuilles. A faire uniquement sur un arbre en bonne santé.

Ligature :
• A utiliser avec parcimonie puisque le bois est cassant.
• Il sera préférable de ligaturer sur bois vert car il est plus flexible, privilégier la formation par la taille et le haubanage.
Ligaturer en février/mars avant la sortie des feuilles ou après une défoliation ou après la chute des feuilles tant qu’il y a encore de la sève dans les rameaux avant l’hiver.

Acer

Acers Erables en général :

Acer Deshojo - Acer Kiyohime

 

Exposition  : Mi-ombre, de préférence le soleil du matin jusqu'à midi.

Arrosage :

Durant la saison de végétation arroser régulièrement dès que le substrat est de couleur claire en surface, le soir ou tôt le matin. Durant l'hiver, votre bonsaï devra être arrosé environ une fois par mois si il est à l'abri de la pluie ou si nous avons un hiver très sec.

Engrais :

Engrais liquide au minimum 1 fois tous les quinze jours voire toutes les semaines (Un engrais pour les plantes vertes du mois de mars jusqu'à fin juin et un engrais pour plantes fleuries de fin Août jusqu'aux gelées). En plus de l'engrais liquide il est conseillé d’apporter un engrais organique type 'Biogold' tous les 2 mois environ durant la saison de végétation.

Taille :

Il est très important de le pincer dès les premières pousses. On va simplement garder la première paire de feuilles.  Ce travail est indispensable afin que les feuilles restent de petites tailles. 

Hivernage : Laisser l'arbre dehors sauf en cas de température négative en dessous de - 10 °C si cela dure plus d'une nuit (Garage.....) le ressortir dès que la température repasse au-dessus de -5 °C. Dans tous les cas, il faut absolument mettre l'arbre à l'abri des courants d'air durant l'hiver.

Rempotage : Tous les 2 à 3 ans (obligatoire tous les 2 ans sur les jeunes arbres). Mélange : 2/3 Akadama ; 1/3 Kiryuzuna.

 

 

Acer Deshojo

Glycine :

 

La glycine se compte parmi les arbres faciles à former

en bonsaï : elle est robuste, supporte la ligature.

Le pot : doit être profond, émaillé, car les autres sèchent

trop vite.Votre glycine ne refleurira que lorsque les

radicelles formeront une masse compacte au fond du pot.
- Même si les racines sont longues, il faut tapisser le fond

du pot sans les sectionner.
- Il ne faut pas mettre de substrat au fond du pot qui

permettrait aux racines de grossir, entraînant la chute de

fleurs au printemps.
Ne pas couper les grosses racines : cette action affaiblirait

le bonsaï et empêcherait la floraison pendant plusieurs

années.
 

Seules les anciennes racines noires ou pourries sont retaillées

jusqu’au tissu sain.
Exposition :
- Au soleil, toute la journée
- Dehors toute l’année
- Protection du pot si grand froid
La glycine demande une grande quantité d’eau, de par sa façon naturelle ; mais aussi un petit pot et un feuillage important.
La floraison terminée, la plante entame sa croissance en faisant de longues tiges :
C’est alors qu’il faut arroser outre mesure tout le pot dans un grand récipient rempli d’eau.
De temps en temps, compléter le niveau d’eau.
. Cette action ne fait pas pourrir les racines.
. Pour le reste de l’année, arrosage normal.
Une glycine placée au soleil, avec beaucoup d’eau et d’engrais développe de grandes branches donc des feuilles et non des boutons à fleurs. Elle demandera des rempotages fréquents.
Le trempage étouffe les racines et ralentit leur croissance. Moins actives, les racines produiront moins de branches et plutôt des boutons floraux.
Le trempage force donc la plante à émettre des boutons floraux.
L’engrais
La glycine a besoin de beaucoup d’engrais pour refleurir,
apport d’engrais dès la floraison terminée, un mois plus tard pour les transplantés.

Il faut épandre un engrais très riche en potasse (élément K) pour stimuler la floraison de la fin du printemps. Les formulations pour fraisiers conviennent bien.

Cet apport d’engrais est renouvelé en juin pour favoriser la seconde floraison en août-septembre.

Après floraison, engrais équilibré du Printemps au début d’Eté. En automne : riche en P et K comme indiqué précédemment. Engrais organique de préférence. Apports de fer une fois par trimestre.
L’eau de trempage étant rapidement absorbée, l’engrais qu’elle contient n’a pas le temps de fermenter. Si l’eau est claire au lieu d’être brunâtre et les feuilles en mauvaise santé, il manque de l’engrais.

Un conseil de Guy Maillot pour faire refleurir abondamment une glycine au printemps suivant est de mettre le pot tout l’été dans un bac rempli d’eau.
Résumé :
. Apport d’engrais après floraison jusqu’à l’été.
. Réduction de moitié après la mi-août
. Arrêt fin septembre.
De même, il vaut mieux éviter d’obtenir la forme par des ligatures qui ne donneront jamais l’élégance naturelle.
En 5 à 10ans, vous obtiendrez des formes très intéressantes en taillant et en la faisant fleurir régulièrement.
La taille de la glycine
- ne pas laisser pousser librement, sinon les entre-nœuds sont beaucoup trop longs. Plus de feuilles seront obtenues que de fleurs.
- lors de la repousse, supprimer les nouveaux bourgeons non désirés. Chaque année, il faut contrôler la pousse des branches pour obtenir plus tard la forme désirée.
- en suivant cette méthode, l’obtention de branches et la taille régulière des pousses permettent de donner un bel aspect à la glycine, même en hiver. La coupe d’hiver n’est plus nécessaire.
Éclaircir le feuillage
- le fait de couper le bourgeon terminal fait naître de nombreux bourgeons secondaires.
- ces bourgeons sont souvent des bourgeons à fleurs, donc il est préférable d’enlever des feuilles afin de laisser entrer la lumière.
La ligature :
De fin d’Hiver à fin d’Eté maximum (le bois marque assez facilement). Attention, le bois étant assez cassant, arquer les ligatures - posées de préférence sur du raphia - progressivement

Culture

Exposition : plein soleil - ombrer de préférence l’après-midi en plein Eté pour éviter le dessèchement du feuillage en régions chaudes. Eté : plein soleil, mais ombrager les pots par temps très chaud. Hiver : A l’exterieur, ou dans une serre par temps froid.

Plage de température : -10° à + 30°C

Substrat : Utiliser un substrat neutre, riche en matières organiques.

Pour les débutants, un substrat composé à 100 % d’akadama sera parfait, le temps d’en apprendre un peu plus.

Raccourcissez toutes les longues pousses à deux ou trois bourgeons, et éclaircissez les parties trop feuillues. Tailles en vert à répéter jusqu’à fin Juillet puis cesser pour laisser les boutons floraux se former, même s’ils ne se voient pas encore

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